Les environnementalistes font part de leurs préoccupations
Saga entourant l'avenir du Parc Mont-Laval par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-AmourArticle mis en ligne le 19 août 2009 à 17:13
Saga entourant l'avenir du Parc Mont-Laval par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-AmourArticle mis en ligne le 19 août 2009 à 17:13
Carole Garceau, présidente de l'APBSD et biologiste de formation.
L'Association pour la protection du boisé Sainte-Dorothée (APBSD) suit avec grand intérêt la saga entourant l'avenir du Parc Mont-Laval, dont le site voisine avec l'une des dernières zones forestières d'importance à subsister sur le territoire de Laval.
«Si le camping a toujours été exclu de notre périmètre, certains de ses éléments naturels n'en ont pas moins un impact direct sur la qualité de l'ensemble des milieux humides de la forêt, comptant parmi les dix plus importants de la ville», déclarait récemment en entrevue Carole Garceau, présidente de l'APBSD.
Étang
L'étang du camping est au cœur de ces éléments.
Cette étendue d'eau de près d'un hectare «est en hydroconnectivité avec un ruisseau qui alimente le plus important ensemble hydrographique de la forêt», lequel est constitué de 17 hectares de marais et marécages et de dix autres hectares de milieux humides. Le maintien des écosystèmes forestiers et de la biodiversité de la forêt en dépend.
L'étang du camping est au cœur de ces éléments.
Cette étendue d'eau de près d'un hectare «est en hydroconnectivité avec un ruisseau qui alimente le plus important ensemble hydrographique de la forêt», lequel est constitué de 17 hectares de marais et marécages et de dix autres hectares de milieux humides. Le maintien des écosystèmes forestiers et de la biodiversité de la forêt en dépend.
Accessibilité à la forêt
L’APBSD émet le souhait que, dans l’éventualité où le camping ferait place à un développement résidentiel, une «contribution aux fins de parc» permettrait un accès accru au périmètre de la forêt, qui regorge d’une grande biodiversité.
L’APBSD émet le souhait que, dans l’éventualité où le camping ferait place à un développement résidentiel, une «contribution aux fins de parc» permettrait un accès accru au périmètre de la forêt, qui regorge d’une grande biodiversité.